jeudi 31 juillet 2008

The place to be this summer...welcome to Boboland !

S'agit il du dernier spot à la mode ou d'un bar des plus rudimentaires ?Le troquet ne paye pas de mine avec son mobilier ordinaire et son petit air négligé. Mais depuis au moins 3 étés, la fréquentation de ce haut lieu de la branchitude nord Parisienne est pris d'assaut par les tous les bobos de la planète Parisienne. Le Barourcq est LE bar caractéristique de cette 'caste', jeune et décontractée qui aime à se retrouver autour de choses simples. Le concept est très efficace; des consommations originales dont les prix défient toute concurrence, une déco vintage, des serveurs branchés mais pas trop, un coin cosy et familial (qui regorge de jeux de société et de livres pour enfants), une bande son moderne, avec aux platines des DJ's pointus.
Le décor est planté au bord du Canal de l'Ourcq, où règne une ambiance méditerranéenne les jours de beau temps, qui n'est pas sans rappeler la Place des Lices de St-Tropez, avec ses joueurs de pétanque. Le bar met également à disposition des transats, pour se prélasser en sirotant son jus de gingembre home made.
On aime passionnément notre QG de l'été....

Le barman aux manettes

Avec vue sur la mer

Coin cosy...


...idéal pour battre Alex au Scrabble !

http://barourcq.free.fr/

mercredi 30 juillet 2008

Ringard....vous avez dit ringard ?

"Si tu vas à Rio, N'oublie pas de monter là-haut, Dans un petit village, Caché sous les fleurs sauvages Sur le versant d'un coteau"
ou encore "Tout l'amour que j'ai pour toi, Est plus fort chaque jour, Je crois bien qu'il durera, Pour la vie, pour toujours" ...

Ne riez pas, car vous avez certainement déja dansé au son de ces refrains, lors de bals populaires en plein été, ou fredonné avec hardiesse un de ces morceaux rendus célebres par une publicité pour une fameuse huile d'olive...
Il s'agissait du grand Dario Moreno dont le succes a atteint son apogée au cours des années 1960, pour sa collaboration aux albums des plus grands interpretes Francais de l'époque, tels Aznavour, Bécaud entre autres, et pour sa présence a l'écran dans une trentaine de films (Le salaire de la peur, La femme et le pantin).
A la fois chanteur d'opérette, et donc acteur, Dario Moreno, est d'origine turque par son pere et mexicain par sa mere. Polyglotte et surtout francophone, c'est dans en France qu'il rencontre son plus grand succes.
Il a hérité d'une joie de vivre absolument communicative, sans doute du fait de ses origines orientales...et d'une qualité d'écriture delicieuse. Ces chansons sont empruntes de romantisme, et d'exotisme...un vrai régal. Il chante le mambo, le chacha, la salsa... c'est drole, sucré et entrainant a la fois.
A la maison, nous avons retrouvé par hasard une compile dont chacun des titres rivalise avec le suivant. Tout est beau, sent le soleil et donne la banane. Ces albums sont disponibles partout. Amoureux du kitsh, vous allez adorer !!!!

Mes chansons préférées sont:
Brigitte Bardot
Si tu vas a Rio
Istanbul
Tout l'amour...

mardi 29 juillet 2008

Barack Président.....le roman du mois

Je ne boude pas mon plaisir à la vue des couvertures de Unes des magazines du monde entier ces derniers mois, en l'honneur de celui qui est déjà qualifié de nouveau JFK, alors que les éléctions Americaines n'auront lieu qu'en Novembre prochain.

Attendu tel le messie de l'Amérique, et par ricochets le sauveur de l'humanité, Barack Obama est selon moi, bien loin de réaliser toutes les attentes qu'il cristallise. Comme tout le monde, je me suis attardée sur sa campagne, j'ai surfé sur son site internet et pris connaissance des 'people' américaines qui le soutiennent (avec au passage un regain de sympathie pour George Clooney), j'avoue m'être quelque peu laissée embarquée par cette Obamania ambiante.

Il est trop fort ce Barack, il n'a en apparence que des atouts. Il est Noir (:-), il est beau, brillant, charismatique et surtout il parait sincère dans ce qu'il martèle à longueur de discours, à savoir sa fervente volonté de changement. Changer l'image qu'à le reste du monde des Etats-Unis, changer l'orientation politique prise par son (futur) prédécesseur, et non sans une certaine ambition, changer le cours de l'Histoire.

J'ai donc lu son premier roman, Les rêves de mon père*, dans lequel il relate toute son enfance, les origines de ses parents et en particulier son père, jeune étudiant Kenyan, venu étudier aux Etats-Unis et l'histoire d'amour qu'il vit avec sa mère, fille blanche issue de l'Amérique moyenne, encore pleine de préjugés.

On y apprend ses engagements, sa construction personnelle et ses ambitions naissantes.

Je me suis sentie proche de lui, avec le sentiment que ce type revient de loin. A le voir aujourd'hui, je comprends bien mieux ce qu'il peut incarner d'espoir, de renouveau et de fraîcheur dans cette Amérique endormie dans conceptions d'un autre âge et enlisée dans des combats dont on ne voit pas la fin.

Je vous encourage à vous laisser porter par sa poésie, parce que Barack sait aussi écrire, bien au-delà de ses idéaux politiques. Parce qu'étrangement cet homme ne me semble revêtir aucune étiquette tant son combat ne rélève que du bon sens.

Bonne chance Obama !

* Les Rêves de mon père, Presses de la Cité, 2008


lundi 28 juillet 2008

Birkenstock versus Havaianas...entre les deux mon coeur balance

Par une chaude après-midi d'été, en pleine interrogation métaphysique sur la tenue idéale à enfiler en prévision du enième pic-nic de la saison, je suis restée interrogative face au choix de la meilleure 'sandale' à porter.

sandale: nf, On appelle aujourd'hui plus spécifiquement sandalette ou nu-pied, une chaussure légère, sans talon, et à brides ouverte dont la particularité est de montrer la nudité des pieds. On en trouve en différentes matières, tissus, plastique et cuir... La tong en est la forme la plus simple. Elle est couramment portée quand il fait chaud.

Ayant toujours étoffé ma garde-robe, non pas au gré des modes, mais plutôt au gré de mes envies... j'ai pourtant été perplexe, pour la première fois depuis longtemps, en hésitant à porter une pièce, qui depuis plusieurs années maintenant est le must-have de nos étés...la Havaianas.

La tong, sans être particulièrement élégante, reste légère, passe-partout, tout en offrant un relatif confort. Son atout principal est bel et bien la discrétion avec laquelle la chaussure se fond à nos tenues les plus minimalistes, comme les plus sophistiquées. Mais de ce fait justement, j'ai beaucoup de mal à la porter en ville malgré les nombreux modèles que j'ai accumulés au cours de mes voyages no Brasil... je la juge trop simple et décidément trop plage.
J'ai donc opté pour la Birkenstock, modèle Madrid, pour son assise et sa robustesse, j'entends déja les fifilles hurler 'Oh secours !!!, pas la godasse allemande', et bien figurez vous que je l'ai adoptée l'an dernier et j'en ai fait ma tatane de chevet :-) Mon modèle est de couleur silver et il se marie avec tout, les couleurs vives comme les pastels, les bijoux argentés of course, le noir, le blanc....everything ! Une touche de couleur pour féminiser les orteils, et le tour est joué. Elle ne parait pas vraiment élégante au premier abord, mais elle a du style et du caractère. Je portais un short purple ce dimanche, et mes Birkis ont fait leur effet, dixit le regard des nanas dans la rue.

Je n'abandonne pas la Havaianas pour autant, ne serait ce que pour parfaire l'accord vestimentaire avec mon chéri (qui est un inconditionnel), mais je la porte avec modération et plutôt sur nos lieux de villégiature, pour maintenir le côté chic et décontracté...

Faites vos choix.... (ou laissez vous tenter par la Birkenstock new generation !)

Birkenstock modèle Molina


Havaianas slim

New generation of Birkis

http://www.havaianas.com/

http://www.birkenstock.com/

vendredi 25 juillet 2008

Pas tres assidue....


Prise en plein metro-boulot-dodo...pas easy easy de SE consacrer du temps et pourtant, ce n'est pas faute d'avoir des choses a dire...
Voila l'été enfin et nous commencons a etre enfin bien chez nous, presque entierement installés dans un appartement dans lequel nous nous sentons bien...
Nous profitons du soleil qui s'eternise en fin de journée pour pique-niquer en amoureux dans le jardin que nous considérons comme une annexe de l'appartement...
Bon, ce n'est pas le cas ce soir, car le ciel se couvre, mais il est plaisant de se prélasser, la jourmée terminée et de déguster des mets fraichement concoctés pour la circonstance.